Esther s’en va en bateau pour New York. Elle est jeune, journaliste. Elle veut rencontrer les gens, apprendre le monde. Sa rédaction lui a donné carte blanche. Depuis la fin de la guerre, les femmes pensent à leur destin. Il faut maintenant le prendre en main. Esther est heureuse et se sent utile. Elle s’est faite une petite maxime : « Ecrire le corps des mots, pour dire les maux du corps »
Et à propos de corps elle a aussi une passion : la danse. Carte blanche lui a dit sa rédaction. Alors tout en notant dans son carnet le destin mouvementé des passagers, elle va croiser des chansons d’ici et d’ailleurs, aux couleurs du monde, valse, tango, java, polka, mazurka qui vont aussi dans l’entrepont faire tourner la danse.
Tant mieux si cette énergie partageuse réveille des images dans la tête, du sourire aux lèvres, et des fourmis dans les jambes, car sur le plancher de l’entrepont, « l’équipage » vous attend !
avec Hugues Charbonneau (texte, chant) et Elsa Signorile (chant, accordéon, guitare, clarinette)
Zakouska, c’est 4 musiciens virtuoses, ultra-inventifs et furieusement groovy qui migrent des Carpates jusqu’aux rives méditerranéennes.
Elodie Messmer (violon/percu), Arthur Bacon (accordéon/percu), Aline Haelberg (violon/lyra) et Fabien Bucher (guitare fretless/percu) conjuguent leurs personnalités musicales pour créer en toute excentricité un nouveau folklore européen, qui décoiffe à coups de rires sauvages, de brusques embardées et de courants d’air vivifiants.
Ils vous embarquent à bord de leur navire pour une virée vers les musiques d’Europe de l’Est jusqu’aux rives de la Méditerranée. Ici on y découvre des sérénades crétoises, des vrilles tziganes, des forêts de cordes et des diableries de taverne.
L’accordéon, la guitare, les violons et la lyra s’accordent en toute harmonie et voguent avec une fluidité déconcertante du côté du jazz et des musiques improvisées pour propulser des mélodies salées et vives dans un dialogue intense et jouissif.
Un souffle de vent de liberté et de modernité sur les musiques du Monde.
Le duo composé de Sabela Caamaño à l’accordéon chromatique et Antía Ameixeiras au violon et à la voix, s’inspire de la tradition pour créer un langage propre et unique, qui puise dans les racines entrelacées des musiques galiciennes, basques, balkaniques et celtiques.
Les deux musiciennes ont assimilé ces repères culturels dès le plus jeune âge. Elles ont accumulé des résultats académiques impressionnants et ont participé à un large éventail de collaborations avec des artistes de renommée internationale tels que Carlos Núñez, Kepa Junkera et le légendaire ensemble galicien Luar na Lubre.
Travaillant ensemble depuis 2018, elles créent ici un univers musical vibrant, qui manie, avec virtuosité et délicatesse, l’essence de la musique populaire, tout en y incorporant des compositions et des arrangements personnels et intimes.
Inspiré des rites populaires galiciens, le duo se met à nu émotionnellement et musicalement pour se connecter à ses racines et nous immerger dans l’imaginaire.
Mokofina met en valeur le plus vieil instrument de l’humanité : la bouche. Un instrument à la fois drôle et varié dont ce spectacle donne à voir et à entendre les innombrables possibilités. Au plus près du public, Kristof Hiriart expérimente le champ des possibles sonores de la bouche avec et sans accessoires. Il nous entraîne dans un voyage sonore pour nous montrer, qu’au fond, chacun d’entre nous possède, sans nécessairement en avoir conscience, une âme de musicien. Un moment de plaisir !
Dans le cadre du festival "Marmaille".
À la croisée du flamenco, du jazz et de la musique mexicaine, Paloma Negra, allusion à une chanson populaire d'Amérique Latine, se pose en quartet sur le fil des musiques du monde, du jazz et des musiques populaires. Originaire de Bretagne sud, le groupe est né en 2014 de la rencontre de Barbara Letoqueux, au chant, et de Victor Reny, à la guitare flamenca. Ils sont ensuite rejoints par de nouveaux complices. Ces quatre musiciens voyagent ensemble désormais et composent des thèmes et chansons venues d'ailleurs, dans un univers hispanique aux sonorités intensément ensoleillées et pimentées. Paloma Negra chante la nostalgie, la joie de vivre et la passion dans la langue de Cervantès, convoquant avec énergie et virtuosité les esprits du nouveau monde. Un répertoire joyeux et festif porté par la belle voix très légèrement voilée de Barbara Letoqueux et le soutien énergique de ses trois complices virtuoses.
Production Péniche Spectacle dans le cadre du festival "Jazz à l'ouest"Voici un voyage dans le temps où le zazou inspire, le swing transpire et l’Avenir respire…
Marion Thomas, Célia Lorec et Hugues Charbonneau, nous offrent sur scène la pirouette fraternelle et tournante de leurs « instruments » d’origine : piano, vocal swing, et théâtre.
Musicalité rythmée, Vocal aventurier, Théâtralité joyeuse.
Sous le léger prétexte d’une promenade musicale et chantée dans les années 40, ils évoquent la jeunesse Zazou. Celle qui, malgré la guerre et les interdits, oppose par l’humour des mots, la dérision des tenues, l’audace des gestes, l’impertinence de la musique, « une résistance » décapante aux intolérances qui se resserrent.
Ces trois intrépides zazous déclinent pour vous une petite danse du bonheur et vous invitent à voguer ensemble joyeusement sur les vents capricieux des voyages et de la liberté
Bienvenue dans le nouvel univers de ce groupe folk-pop d'influence américaine.
« Consolations » est un spectacle musical qui entremêle voix chantée et parlée. Il vous emmène vers l’univers de l’intime pour questionner les quêtes de guérison. Là où se rencontre, à travers l’écriture, l’universalité d’un texte, d’une chanson et de la musique.
On y retrouve bien sûr : Leïla Chevrollier-Aïssaoui, la chanteuse - compositrice à la présence solaire, authentique et à la voix aux accents folk traditionnels qui croisent culture vocale lyrique et gospel ; Paul Manoeuvrier, le guitariste aux doigts agiles et à la présence incontournable ; et Keumlan Hamayon-Seo remarquable pianiste coréenne.
Avec une simplicité organique, autour de textes en anglais, français et tamazight (langue berbère touareg), le trio vous invite au salon pour partager ce qui nous rassemble, ce qui nous réunit. Ils jouent d’une voix : celle qui entre en quête de l’universel avec bonheur et complicité.
Ce spectacle est co produit par la Péniche Spectacle
C’est l’histoire d’un Grand Père, qui en tombant d’un arbre, reste accroché à une branche par le pied !... Comme il est seul et qu’il n’y a personne à passer, il creuse dans sa mémoire et se raconte des histoires pour prendre patience. Il a espoir d’y trouver une idée qui le sortirait de là ! Car “Même à l’envers, un homme est toujours debout !”. Cela peut-il le sauver ? Ce spectacle conçu et interprété par Hugues Charbonneau interroge, avec poésie et humour, les valeurs de solidarité, de partage, d’échange, de tolérance, et d’humanisme.
Voici un voyage dans le temps où le zazou inspire, le swing transpire et l’Avenir respire…
Marion Thomas, Célia Lorec et Hugues Charbonneau, nous offrent sur scène la pirouette fraternelle et tournante de leurs « instruments » d’origine : piano, vocal swing, et théâtre.
Musicalité rythmée, Vocal aventurier, Théâtralité joyeuse.
Sous le léger prétexte d’une promenade musicale et chantée dans les années 40, ils évoquent la jeunesse Zazou. Celle qui, malgré la guerre et les interdits, oppose par l’humour des mots, la dérision des tenues, l’audace des gestes, l’impertinence de la musique, « une résistance » décapante aux intolérances qui se resserrent.
Ces trois intrépides zazous déclinent pour vous une petite danse du bonheur et vous invitent à voguer ensemble joyeusement sur les vents capricieux des voyages et de la liberté.
Thé tre du Pré PerchéUn cabaret ambiance Saint-Germain-des-Près, déraisonnable et cadencé, pour flirter avec le plus snob des zazous ! Si le swing de son époque innerve le souffle de ses mots, la tendresse de sa poésie et la formidable violence de ses engagements, il s'agit toujours pour Boris Vian de bousculer les certitudes des grands moulins du temps ¦ D'une complicité contagieuse, Virginie Guilluy et Hugues Charbonneau, comédien-ne-s et chanteur-euse-s, prêtent leurs voix malicieuses à l'emblématique Boris, tout à la fois écrivain, chanteur, trompettiste, inventeur, critique, ingénieur, scénariste ¦ Entre sa vie et son oeuvre, le duo s'encanaille volontiers au rythme de ses chansons. Celles où swingue la Ablue note impertinente, d'une écume des jours jamais reposée ¦ Laissez passer sa Majesté le Jazz ¦
Au milieu de son archipel, composé de dizaines d’îles, Stockholm étend ses espaces verts, ses canaux, ses traces d’histoire et sa modernité. Entre l’omniprésence de l’eau, le climat parfois rude, la lumière si changeante, Stockholm c’est aussi la Suède patrie du prix Nobel. Ouverte à la différence, à l’accueil, à l’innovation sociale à la place des femmes, elle s’efforce de résister aujourd’hui à la tentation du repli...
De nombreux auteurs (roman, poésie, théâtre, cinéma) décrivant la société, le couple, les mœurs, ont nourrit le modèle social, que la nouveauté du roman policier « social » (Millénium) est venu aujourd’hui enrichir.
C’est avec des extraits de Selma Lagerlöf, Auguste Strindberg, Liza Marklund, Tomas Tranströmer, Lars Norens, Stieg Larsson, …que nous vous invitons à voyager, accompagné par les musiques scandinaves et les chants de Marguerite Lersteau du groupe Voden et de son instrument envoutant : le Nyckelharpa.
avec Hugues Charbonneau (lecture), Marguerite Lersteau (chant et Nyckelharpa)
Que se passe-t-il quand on lâche trois chanteuses lyriques sur une scène… Un feu d’artifice vocal ! Un concentré de charme, de fraîcheur et d'originalité. Trois femmes talentueuses, un tantinet espiègles chantent a cappella, en polyphonie (ou pas !), en lyrique (mais pas seulement !), dans un registre d'une très grande variété, une partition géante à trois voix, enrichie par une réécriture originale qui s'harmonise parfaitement avec l'ensemble.
Du baroque au jazz, en passant par les musiques du monde, le gospel, la variété, les airs d'opéra…voici un concert musical insolite, drôle, émouvant, léger, ironique, décalé... inattendu ! qui mêle dans une même synergie le chant, le geste, la parole, le silence et le rire... Avec toujours passion et exigence.
Les Polysonantes c’est : Nelly Pichot-Badeaud, alias Alice, soprano colorature, "feu follet-survitaminé". Nathalie Fabre, alias Carmina, soprano lyrique léger "rigido-décalo-allumée", et Anne-Claire Couchourel, alias Eva, mezzo-soprano "séductrice dynamito-enflammée".
Trois personnalités pour un spectacle clin d’œil qui vous réchauffera très certainement le cœur.
Ou l’éternelle question à soi-même : “T’es qui, toi ?” Savoir qui l’on est, n’est pas toujours simple !… Et pour le dire, même un miroir peut parfois nous tromper… Alors pour savoir qui l’on est, c’est peut-être plus facile, si en guise de miroir on se regarde plutôt dans l’autre… même si on se croit un roi, un chat, un chien, une femme, ou un enfant… Ça vaut le coup d’essayer ! Hugues Charbonneau et Elsa Signorile ont rassemblé des musiques et des contes du monde pour continuer d’évoquer toujours plus largement les grandes quêtes humaines de l’identité. « T’es qui, toi ? »
Ces deux-là sont talentueux. Quand il était petit, Camille Saglio entendait son frère Matthieu Saglio faire ses gammes au violoncelle. Cela lui paraissait bien étrange, comme un rituel auquel personne d’autre n’était convié... Au fil du temps, chacun a tissé sa propre relation à la musique : du côté de la chanson pour l’un, du jazz et des musiques du monde pour l’autre.
Puis, petit à petit s’est dessiné un nouveau possible, comme si les fils se mettaient à tresser ensemble un chemin à explorer à deux. Chemin de cordes évidemment, cordes de violoncelle et cordes vocales. Cordes si similaires qu’elles se confondent, s’accordent et se mélangent à merveille, accompagnées du sampler qui les démultiplient.
On y entend leurs compositions aux accents orientaux, de jazz ou de blues, mais également un univers lyrique, porté par un archet virtuose et une voix hypnotique. Celle-ci est capable d’emporter l’auditeur dans les aigus d’un contre-ténor à la langue imaginaire, d’improviser en recréant le timbre d’une trompette, mais aussi de créer la surprise avec des chansons en anglais, bambara ou espagnol.
Un répertoire aussi inclassable que magnétique pour un voyage sensible, aérien, infini...
Guinéenne de naissance, c'est avec sensibilité, brio et énergie que Sayon Bamba (chant, chékéré) nous conte l'histoire de son pays et des petits bouts de vie happés au gré de ses pérégrinations. Elle nous dévoile sans complexe ni tabou des histoires de maquis en folie, des histoires à la fois familières et envoûtantes que l'on écoute de la tête aux pieds !
Aujourd'hui marseillaise d'adoption, son chant s'est frotté à d'autres styles et traditions. Sensible, charismatique, elle a su métisser ses racines et les sonorités croisées tout au long de son parcours. Ces chants traditionnels et populaires mandingues, elle n’hésite pas à les réinterpréter et à les mêler à des compositions toutes personnelles. Une fusion musicale bien à elle, portée par une féminité touchante et engagée. Sur scène, elle est accompagnée de Dominique Beven aux mandolines, flûtes et cornemuse, Malik Ziad à la basse et goumbry, Hassan Boukerou aux percussions et Mohamed Youla à la guitare
Chantant en soussou, toma ou malinké, des textes incitant les femmes africaines à ne pas subir l’oppression et fustigeant l’inertie, cette véritable Amazone africaine affirme et revendique l’indépendance avec émotion et énergie communicative.
Sur scène, sa voix résonne dans le corps comme un cri et porte les espoirs du peuple Mangingue du XXIème siècle. Comme l’hymne lumineux d’une artiste éprise de liberté...
Dans le cadre de la Journée Internationale des Femmes.
Aujourd’hui, la Thaïlande est le pays le plus développé de la péninsule indochinoise. Les traditions bouddhistes séculaires bien ancrées dans toutes les classes d’âge de la société n’entravent nullement le pays résolument engagé dans la voie du modernisme en ce début de troisième millénaire. Les pagodes aux toits étincelants de rouge et d’or voisinent avec les tours de verre et d’acier. Après la difficile période du Covid, la Thaïlande est redevenue l’un des pays les plus visités de la planète par des voyageurs charmés par sa culture riche et brillante, ses temples majestueux, sa gastronomie originale et ses îles aux plages de sable blanc.
En partenariat avec « Le Cercle des Voyageurs »
Albaricate, c’est un duo original et hypnotique. Une femme chansigneuse et comédienne : Clémence Colin, et un homme chanteur et comédien : Samuel Genin
Dans un travail à quatre mains, ils vous embarquent durant une heure de concert en accoustique et en langue des signes, vers l’univers d’Anne Sylvestre, cette Grande Dame de la Chanson.
Brossant depuis quelques années déjà le portrait de personnages hauts en couleurs, ils ont trouvé une résonance toute particulière dans le répertoire de l’autrice-compositrice.
De ses chansons féministes comme Une sorcière comme les autres à la gouaille de Les grandes balades, Albaricate évolue autour de textes à la fois drôles, engagés ou intimes à l’image de la chanson Comme un personnage de Sempé.
L’œuvre d’Anne Sylvestre y accompagne ainsi le monde pétillant, poétique et engagé des deux alter-égo du duo, Alba et Ricate.
Un beau voyage.
Ce spectacle a été accompagné par la Péniche Spectacle
Production Péniche Spectacle dans le cadre du Festival Mythos.
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